Google se prépare à tester des drones de livraison ensemble avec le gouvernement américain


C’était ce mardi que le gouvernement du président américain Barack OBAMA a annoncé l’initiative prise avec le géant de l’internet Google de tester des drones de livraison à partir de l’un de ses 06 sites de tests de drones.
Du côté du gouvernement américain, ce sera l’Agence fédérale de l’aviation (FAA) qui se chargera de l’opération aux côtés de Google. La Maison Blanche a indiqué que cette collaboration fait partie d’une série d’initiatives prises ensemble avec le Géant GOOGLE afin d’encourager le développement des drones à multi actions.

Patrice TALON en première visite à Abuja au Nigeria chez Muhammadu Buhari


Quatre (04) mois après son accession au pouvoir, le président Patrice TALON a eu à effectuer hier mardi 02 Août une visite chez son homologue nigérian Muhammadu Buhari à Abuja au Nigeria.
Cette visite n’est pourtant pas la 1ère pour le chef de l’Etat béninois Patrice TALON vers le Nigeria ; il s’y était rendu précisément à Abuja mais dans le cadre d’un sommet sur la sécurité en mai.
La visite de ce mardi s’est effectuée dans un cadre officiel et spécial pour le Nigeria auprès de son homologue nigérian Buhari.
Traditionnellement au BENIN les chefs d’État nouvellement élus réservent au voisin nigérian l’honneur de leur première visite officielle à l’étranger. C’est dans ce cadre qu’a eu lieu hier la visite de TALON à son homologue du Nigeria.
A propos de cette visite le président TALON déclarait : « Les problèmes que rencontre le Nigeria font que le président est peut disponible. Sinon, je m’y serais déjà rendu. Au lendemain de mon investiture, le Nigeria était le premier pays que je souhaitais visiter. Mais le président Buhari était en voyage de santé à l’étranger et je n’ai pas pu effectuer cette visite ».

Explosion d'un oléoduc de Shell au Nigeria dans le Delta du Niger


Au Nigeria, au moment même oû le gouvernement entend engager des négociations avec les rebelles séparatistes, les Vengeurs du Delta du Niger (NDA), le groupe anglo-néerlandais Shell a vu brulé devant ses yeux un de ses oléoduc basé dans le sud pétrolifère du Nigeria ( Delta du Niger ).
Mais à l’heure actuelle, aucune revendication n’a été formulée par les Vengeurs du Delta du Niger (NDA).
Est-ce un sabotage ou un accident ? Nul n’en sait encore rien. Les soupsons se portent beaucoup plus sur le sabotage. Voici ce que déclarait un des habitants de la localité ou l’explosion a eu lieu : « L’incident est survenu vers 01H00 du matin près de la communauté d’Odimodi dans l’Etat du Delta avec le souffle de l’explosion qui a fait trembler les murs des appartements, au milieu d’une énorme boule de feu ».
Si cette explosion s’avérait être une attaque, un sabotage de la part des Vengeurs du Delta du Niger, Cette attaque ne viserait pas uniquement la société Shell, mais aussi d’autres sociétés pétrolifères opérant dans la région comme Chevron, Exxon ou encore Eni.

Nigeria : Arrestation du Cybercriminel escroquant jusqu’à 60 millions de dollars


Au Nigeria, la police de l’Interpol a annoncé ce lundi 1er Août 2016 avoir arrêté le N°1 d’un groupe de cybercriminels comprenant environ une quarantaine de membres au Nigeria, en Malaisie et en Afrique du Sud.
Le cerveau de ce vaste réseau n’est pas connu sous son vrai nom, mais il est connu sous le nom de « Mike ». Il est nigerian et serait agé d’une quarantaine d’année. Il est arrêté à Port-Harcourt au Nigeria.
Par quelle manière Mike est ses amis arrivaient à escroquer les chefs d’entreprises ?
A l’aide des logiciels malveillants, ils arrivent à pirater les comptes électroniques des chefs d’entreprises du Canada, de la Malaisie, de l’Australie, de la Roumanie et bien sûr des Etats-Unis.
Chacun des membres du réseau s’infiltre dans les comptes des petites et moyennes entreprises et réussissent pour la plupart des temps à obtenir de leurs victimes des virements vers les comptes bancaires qui les appartiennent.
L’Organisation de Coopération Policière Internationale déclare :
« Le Nigérian âgé de 40 ans et connu sous le nom de « Mike » serait derrière des arnaques totalisant plus de 60 millions de dollars (plus de 53 millions d'euros, NDLR) et impliquant des centaines de victimes dans le monde »,
« Dans l'un des dossiers, une cible a été amenée à verser 15,4 millions de dollars », ajoute le texte
Le communiqué continue et précise
« Le réseau s'est infiltré dans des comptes de courrier électronique de petites et moyennes entreprises dans le monde, notamment en Australie, au Canada, en Inde, en Malaisie, en Roumanie, en Afrique du Sud, en Thaïlande et aux Etats-Unis »,
« A la suite de son arrestation à Port-Harcourt, dans le sud du Nigeria, un examen des appareils saisis par la EFCC montre qu'il était impliqué dans toute une série d'activités criminelles, dont des escroqueries via des emails d'entreprises et des arnaques sur des sites de rencontre », poursuit le communiqué.
Avouons que cette tournure de l’arnaque en ligne est inquiétante. Les gouvernants africains ont du mal à faire face ce phénomène.

En Côte d’Ivoire le procès de Simone Gbagbo reporté en Octobre 2016

Qui est Simone GBAGBO ?

Simone Ehivet Gbagbo est née le 20 juin 1949 à Moossou. Elle est une femme politique ivoirienne, une syndicaliste, ex 1ère dame de la Côte d’Ivoire et épouse de l’ex-président Laurent GBAGBO.
Au cours des dix ans de règne de son époux Laurent GBAGBO, elle aurait commis de graves crimes contre l’humanité, ce qui la vaut aujourd’hui des procès devant le tribunal d’Abidjan.
A la demande de l’ex-première dame ivoirienne Simone Gbagbo et de ses avocats, le procès de Simone Gbagbo pour crimes contre l'humanité devant se tenir ce jour a été ajourné aujourd’hui lundi 1er Août 2016 au 10 octobre prochain. Au début de l’audience, Simone Gbagbo et ses avocats n’ont pas cru devoir se présenter.
A la cours, le procureur général Ali Yéo s’était contenté d’expliquer "Lorsque ce matin j'ai envoyé chercher l'accusée, elle a fait dire qu'elle était vraiment fatiguée et qu'elle souhaitait que nous puissions tenir compte de la requête qui avait été faite par ses conseils et lui permettre de se reposer le temps des vacances judiciaires", a expliqué à la cour le procureur général Ali Yéo. " IL a encore ajouter
"Nous constatons que l'audience ne peut pas continuer. On vous propose que nous voyons une date après les vacances judiciaires pour reprendre cette audience".
Rappelons que Simone GBAGBO est accusé de crimes contre l'humanité, crimes contre les prisonniers de guerre et crimes contre les populations civiles, commis lors de la crise post-électorale de 2010-2011, qui a fait plus de 3.000 morts en cinq mois en Côte-Ivoire.
La Côte d’Ivoire a eu a traversé des moments sombres, très sombres sous le régime GBAGBO avec à la clé son épouse Simone GBAGBO. Autant elle avait eu le courage de commettre des crimes dont elle est aujourd’hui accusée, autant elle devrait avoir le courage d’assumer sa responsabilité. Que le procès soit reporté ou pas, elle finira par être jugée. Et si elle est vraiment reconnue coupable, elle purgera sa peine en prison pour XXXXX années.

Pensée du Jour

‟Ils ont eu le pouvoir pour un temps, ils ont cru l’avoir pour toujours. Aujourd’hui, ils pleurent.”

Discours de TALON à la veille de la 56ème Fête de l’indépendance au BENIN


Ce jour, le BENIN célèbre son 56ème anniversaire de son accession à l'indépendance. A la veille de cet anniversaire, le président Patrice TALON prononce son discours à la nation béninoise. Voici l'intégralité de son discours:

‟Béninoises! Béninois! Chers compatriotes, Notre pays va commémorer demain pour la 56ème fois son accession à la souveraineté internationale. Au-delà de la fête que justifie la conscience de liberté, l'occasion nous est à nouveau donnée de faire le bilan d'un parcours collectif de plus d'un demi-siècle et de fixer le cap pour les années à venir. À ce propos, je dois d'abord souligner les progrès accomplis sur le chantier de l'unité nationale qui nous donnent à tous la fierté d'appartenir à une nation, toujours en construction certes, mais libre, responsable et mûre. Pour nous aujourd'hui et pour les générations futures, la tâche sera de travailler à consolider, chaque jour davantage, cette union de toutes les filles et de tous les fils de ce pays. Il devra en être de même pour l'amour de la patrie qui est le ferment de l'unité nationale. Je dois ensuite faire avec vous le constat de ce que, en 56 ans, notre pays n'a pas beaucoup avancé sur le chemin du développement économique et social. Or, durant cette même période, l'humanité a fait des progrès considérables dans tous les domaines et a offert à chaque communauté, l'opportunité de s'approprier les avancées des uns et des autres pour la construction d'un standard de bien être devenu une exigence voire un droit pour chaque citoyen du monde. C'est dire donc que notre pays n'a pas réussi à rattraper le train du développement et semble être resté sur le quai. Pour autant, l'indépendance économique et sociale, sinon la liberté de se développer, demeure encore à notre portée et il faut la conquérir. Il est temps d'entamer résolument la lutte contre la pauvreté et le sous-développement car la liberté dans la pauvreté n'est qu'un leurre. La liberté n'est pas une fin en soi, elle est un moyen de développement. Il nous appartient donc de décider et de prendre la mesure des choses, de faire des choix pertinents qui tiennent compte de nos potentialités, de nos talents et compétences ainsi que des ressources disponibles pour aller résolument à la conquête du développement. Et c'est là notre défi commun, c'est là mon défi personnel. Ce challenge est aussi le fondement des réformes politiques, institutionnelles et administratives que j'entends mettre en œuvre pour conforter la démocratie et permettre la bonne gouvernance. En effet, l'essor économique et social de notre pays est fortement tributaire de notre modèle d'organisation politique institutionnelle ainsi que de la qualité de notre gouvernance aussi bien centrale que locale. Voilà pourquoi je pense qu'il nous faut impérativement réformer notre modèle politique tel qu'il est issu de l'historique conférence nationale de février 1990 par le rétablissement d'un équilibre constructif entre les institutions constitutionnelles, le renforcement de l'indépendance de la justice, la lutte contre l'impunité, la réforme de notre système partisan et la stabilité du code électoral. J'y ai beaucoup travaillé depuis mon investiture avec les membres de mon gouvernement et, sur la base des propositions qui m'ont été faites par la Commission Technique que j'ai chargée des réformes politiques et institutionnelles, j'engagerai sous peu le processus de révision de notre constitution. Mais avant l’ultime étape de saisine du Parlement, je compte recueillir par une consultation en forme référendaire, l'appréciation de l'ensemble du peuple béninois sur les choix que j'ai opérés. J'ai la conviction que notre pays se trouve à nouveau à un tournant décisif de son histoire et à l'instar de nos aînés, nous devons faire face à nos responsabilités. Ensemble, il nous sera possible de relever très vite le défi de la modernisation politique de notre pays afin de l'engager durablement sur la voie du développement économique et social, gage de paix et de stabilité. Puissions-nous alors sur ce chemin continuer de construire la nation béninoise dans l'unité pour le bien être de chacun et de tous afin que vive le BENIN. Bonne fête. ”

A Kinshasa en République Démocratique du Congo(RDC), des milliers de partisans et sympathisants ont assisté au meeting d’ Étienne Tshisekedi


Le leader de l’opposition congolaise, Mr Étienne Tshisekedi a organisé un meeting dimanche dernier à Kinshasa.
Quelques jours seulement après son retour de la Belgique ou il a passé deux (02)ans de convalescence, l’opposant charismatique congolais Étienne Tshisekedi a organisé un meeting à Kinshasa le dimanche dernier. Ce meeting a rassemblé des dizaines de milliers de personnes parmi lesquelles ses partisans, ses sympathisants mais aussi les sans bord politiques.
Au cours de ce meeting, l’opposant historique a eu à condamner les actes barbares et injustes que pratique le pouvoir actuel. Il a dénoncé la volonté présumée du président Kabila de vouloir confisquer le pouvoir au détriment de la constitution puis a demandé la tenue des élections présidentielles en bonne dates puis le départ du président Joseph Kabila à la date prévue part la constitution, c’est-à-dire le 20 décembre 2016.
Le leader de l’opposition est à plusieurs reprises ovationné lors de ses discours.
A la fin, les participants semblent être satisfaits de ses discours, puisque chacun s’était retourné dans sa maison avec un visage plein d’espoir.